Qui suis-je ?

Esméralda est mon vrai prénom

Ma grand-mère maternelle était médium, mais n’en faisait pas profession. Dans ma famille, côté maternel, le « paranormal » était normal . Il faisait partie de la vie. Petite, je baignais déjà dans l’irrationnel . Jusqu’à vingt ans pourtant, je n’ai aucune prémonition (du moins consciente), aucune manifestation « bizarre ». A vingt ans, je travaille dans la boutique de prêt-à-porter pour dames que ma mère et moi-même avons créée. Je fais un rêve prémonitoire. Il a déclenché brutalement la naissance de perceptions extra sensorielles.

Je ne m'explique pas ces mécanismes

La réalité des facultés psi

Je n’explique toujours pas ses mécanismes, mais j’ai appris à mieux les gérer en multipliant les expériences. Si certaines ont été des échecs, je l’avoue, le nombre de succès est révélateur de la réalité des facultés psi. J’en ai surtout accepté les limites. Au départ, je n’avais pas l’intention de faire de la voyance mon « métier ». A vingt ans, on envisage rarement de devenir « voyante extra-lucide ».. Déjà affublée du prénom , il ne me manquait que la chouette sur l’épaule, un peu de bave de crapaud, de gros bijoux extravagants et … la boule de cristal! Pourquoi alors avoir fait de la voyance ma profession? Je crois que je ne pouvais pas faire autrement. Ce lien tissé avec un autre mode de connaissance s’est enroulé autour de moi. Je me trouvais face à un choix: celui de l’exercer publiquement et de l’intégrer désormais dans ma vie. J’ai accepté le fait que mon cerveau n’est pas comparable à une machine. C’est clair. Net, comme quelque chose d’enraciné sur lequel je n’ai pas à me poser des questions pour obtenir des réponses rationnelles afin de savoir que je suis dans le vrai.

Esméralda Bernard Clairvoyante Tarologue Formatrice

Mes ouvrages

Mon expérience

Plus de 30 ans d'expérience

Au commencement

Faire de la voyance une discipline reconnue

Les années ont passé et si j’ai découvert, au fil des jours, l’aide précieuse que ce type de perceptions peuvent apporter à ceux qui consultent, j’ai aussi entendu trop de récits qui m’ont fait bondir ! Des témoignages de personnes victimes de charlatans. D’individus, sans scrupules, qui profitent et exploitent la détresse humaine. Alors, j’ai eu envie de réagir et d’engager une action pour une plus grande éthique dans la pratique des arts divinatoires. J’ai créé l’association Delta Blanc Belgique qui regroupe des praticiens des arts divinatoires autour d’un code de déontologie. Bien vivante cette ASBL poursuit son chemin d’information au public. L’envie de partager mon parcours et de dépoussiérer l’image de la voyance m’amène à publier un livre aux éditions Grancher: « Les Yeux de votre Destin – Confidences d’une voyante ».

Le jeu du destin

En 2011, je crée un jeu de carte divinatoire

Je crée « Le Jeu de votre Destin » Editions Grancher (Paris). Un jeu divinatoire unique magnifiquement illustré par la talentueuse artiste peintre Julian Van Bur (Présidente du cercle Royal des Beaux arts de Liège et mérite artistique Européen). A travers ce jeu simple, et à la portée de tous, j’invite à la pratique de l’art de la divination. Le livre qui accompagne le jeu donne les clés pour déchiffrer les 54 cartes et leurs symbolismes. Il comporte un aspect théorique mais aussi pratique par des exercices et différentes méthodes de tirages proposés. J’aborde cet apprentissage, ainsi que l’éveille au développement intuitif, lors des ateliers d’initiation que j’anime en petit groupe.

De nos jours

Consultations, conférences et débats

Définir clairement les possibilités et limites d’une consultation de voyance est un but que je poursuis. C’est pourquoi, je réponds avec plaisir aux demandes des conférences–débats. Je partage mon temps entre mes consultations et des ateliers d’initiation à l’art de la divination et du développement intuitif.